Le ciel comme une vague

céleste sur les bâtis

de la ville et de ses brisants

d’azur,

oisifs et les hirondelles.

Le chant des hommes

leur silence

les lueurs du fer forgé

gravé dans les siècles

par

la poigne de pierre.

Vous

dans l’inextricable complexité des ombres

les murs vous gardent

sous les gouffres béats des airs :

et leurs mystères,

leurs cortèges de silence

d’un angle l’autre vous regardent.