Tu ouvres l’œil sur les flots

noires tes boucles

d’ébène et d’outremer

de nuit les battements de tes cils

que j’aime

tes lèvres d’opaline.

Je tangue aux indolents murmures de tes promesses.

Les échos d’argent

les diaprures rieuses

le nacre et le marbre

la lumière

aux obscurité de tes soupirs

l’ondée nocture de tes mains

je divage en toi.

Dans l’intimité du large

de lune tu es vêtue

personne alentours,

dansons.